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ãÔÇåÏÉ ÇáäÓÎÉ ßÇãáÉ : Projet II séquence2 2AS



walid
11-05-2013, ÈÊæÞíÊ ÛÑíäíÊÔ 02:27 AM
Niveau : 2ème A.S
Projet 2 : Mettre en scène un procès pour défendre des valeurs humanistes
Intention communicative : Argumenter pour plaider une cause ou la discréditer
Objet d’étude: Le plaidoyer et le réquisitoire.
Séquence2: Dénoncer une opinion, un fait, un point de vue


Production écrite: Rédaction d’un texte pour dénoncer une « situation » injuste,partiale, arbitraire, illégale, choquante



Activités de lecture




Support : « Dérive de la science », page 64




I)- Imprégnation



Dérive : Déviation progressive d'un processus, due à un manque de contrôle. Dérive politique.


Dérive dans l'application d'une règle. Þ dérapage. Dérive du chômage, augmentation

incontrôlée. (Le sens du mot selon le contexte)


Ø Quelle remarque pouvez-vous faire sur le titre
Le titre nous apprend que la science est en train d’échapper à tout contrôle
Ø Est-ce que cela serait « normal », selon vous ? Pourquoi ?
Non. Cela pourrait engendrer de très graves conséquences sur l’humanité
Ø Faut-il laisser faire alors ? Sinon, quelle doit être notre position envers cette situation ?
Non. Il faut la dénoncer. (Dénoncer : Faire connaître (une chose répréhensible). Dénoncer un crime, des abus)


II)- Exploitation du texte


1- A qui renvoient les pronoms personnels suivants : « Je », « Il »?
Le pronom « Je » renvoie à l’auteur « Albert Jacquard » ; « Il » à « Jules Verne ».


Jules Verne (1828-1905), écrivain français, auteur de quelque quatre-vingts romans, qui fut, au XIXe siècle, un précurseur de la science-fiction (Genre littéraire qui fait intervenir le scientifiquement possible dans l'imaginaire romanesque.) Un des principaux mérites de Jules Verne est d’être parvenu, grâce à son sens de la documentation, à adapter au roman les conquêtes et les découvertes des savants de son époque, tout en les mettant au service d’une imagination foisonnante, qui, bien souvent, a fait de lui un visionnaire. Ainsi, le célèbre Nautilus de Vingt Mille Lieues sous les mers préfigure de dix ans les sous-marins de l’ingénieur Laubeuf.




2- Qu’est-ce que Jules Verne avait prévu (imaginé) comme découvertes scientifiques ou techniques, par exemple ?
Les avions, les sous-marins….


3- Selon J. Verne, que devaient apporter ces découvertes à l’humanité (aux hommes) ?
Elles devaient assurer le bonheur des hommes.


4- Quelle est la phrase qui montre que la recherche scientifique est arrivée à découvrir des choses beaucoup plus importantes que celles prévues par J. Verne ?
« La réalité a dépassé ses prévisions. »


5- La phrase suivante : « Mais le constat le plus troublant qu’à dû accepter ma génération est que les avancées techniques ne sont pas nécessairement des progrès humains. » signifie :
a- Les avancées techniques ont réalisé le bonheur des hommes ?
b- Les avancées techniques n’ont pas réalisé le bonheur des hommes ?
Répondez, puis justifiez par trois mots tirés du 1er paragraphe.
Les avancées techniques n’ont pas réalisé le bonheur des hommes. « bouleversé, mais, troublant »


6- Quels sont les deux exemples cités par l’auteur pour montrer que la science est arrivée à découvrir des choses qui peuvent être catastrophiques pour l’humanité ?
La bombe nucléaire et les manipulations génétiques.


§1 : Le progrès scientifique menace l’humanité.


7- A quoi l’auteur oppose-t-il les beaux rêves ?
Le cauchemar.


8- Qu’est-ce qui est désigné par ces deux expressions (beaux rêves – le cauchemar) ?
Par « beaux rêves », l’auteur les rêves des précurseurs des recherches scientifiques, qui voulaient réaliser des choses qui contribuent au bonheur des hommes. Par « le cauchemar », il désigne les résultats catastrophiques auxquelles sont parvenues ces recherches.


9- Relevez les mots et les expressions qui montrent que le progrès scientifique est en train d’engendrer le malheur des hommes ?
Le choc - le pire - l’asservissement de la majorité des hommes - suicide collectif - le cauchemar - danger - délire - déchirement


§2 : Le progrès scientifique a engendré le malheur des hommes, au lieu d’assurer leur bonheur.



10- Quelles sont les deux raisons qui poussent les scientifiques à faire des recherches malgré cela ?
Leur intelligence et les contraintes imposées par la finitude du monde.


11- Pourquoi l’auteur cite-t-il l’exemple du feu ?
Pour montrer que l’homme se comporte suivant sa nature et ses besoins.


12- Pouvez-vous déterminer la date de la rédaction de ce texte ?
Vers la fin du siècle dernier


13- Qui est désigné par le pronom « tu » ? Justifiez votre réponse.
Une personne qui fait partie des futures générations. L’emploi du futur dans « leurs effets ne seront pas apaisés pour ta génération »


14- Est-ce que l’auteur pense que la situation actuelle va changer dans l’avenir ? Justifiez votre réponse.
Non. Il pense le contraire en déclarant : « … je ne m’avance guère en imaginant que leurs effets ne seront pas apaisés pour ta génération. »


§3 : Les découvertes scientifiques ne seront pas limitées par le temps.


III)- Exercice de synthèse : Complétez le tableau suivant





Qui ?





Parle de quoi ?




Quelle est sa position sur le sujet ?




A qui




s’adresse-t-il?




L’émetteur veut




informer




le récepteur ?




faire réagir




le récepteur ?

















IV)- Etude du modèle discursif
Ø Le réquisitoire est un discours (texte) qui accuse qqn en énumérant ses fautes, ses torts, ou qui dénonce les imperfections (défauts, lacunes, anomalies, faiblesses …) de qqch.
(Ici : La situation dramatique sur laquelle ont débouché les découvertes scientifiques.)
Ø Dans le réquisitoire l’énonciateur prend parti contre qqn ou qqch. Il donne des arguments, des preuves, des explicationsà son destinataire pour le convaincre.
(Ici :
1- Les avancées techniques ne sont pas nécessairement des progrès humains.
2- Aux beaux rêves de sociétés apaisées, opulentes, égalitaires, succédait le cauchemar.)


Ø Dans le réquisitoire (comme dans tout texte argumentatif d'ailleurs), on retrouve :



1- l'expression des sentiments (enthousiasme, bonheur, troublant, choc, fascination, déchirement, l’envie)
2- L’emploi d’un lexique « dépréciatif » (bouleversé, troublant, choc, pire, asservissement, suicide, cauchemar, danger, délire, déchirement)



3- l’expression de l’opposition (l’emploi de « Mais », l’emploi de la négation pour exprimer des choses contraires, l’emploi des antonymes)



4- la volonté d'impliquer le destinataire (l’emploi de la 2ème personne, l’emploi de la phrase interrogative)



Activités de l’oral




Ecouter – Comprendre – Répondre – Reformuler


Support : « Venise ou la kermesse frénétique » P.66



I)- Lecture magistrale: 1 à 2 fois
Les élèves devront prendre des notes au cours de cette lecture.
II)- Questionnaire



Activités de langue




1 -- Lexique : « »



Application



Activités de langue




2 -- Syntaxe : « Les relations logiques implicites »








Application



Exercice 1, pages 73 &74


Exercice 2, page 74




Activités d’expression





(1)- Le plan de la rédaction



I)- Rappel du sujet

Rédigez un texte pour dénoncer une « situation »qui vous semble injuste, partiale, arbitraire, illégale, choquante ...




II)- Remarques




Faire l'inventaire des thèmes choisis par les élèves.


Aider les élèves à établir un plan collectif.


III)- Le plan du texte
Introduction
Présenter la situation en question ( Lieu – Temps – Description )



Développement
· Caractériser la nature du (des) danger(s) qui le menace(nt)
· Présenter les arguments pour convaincre les lecteurs de la nécessité de le sauvegarder.
Conclusion
· Quel intérêt y a-t-il à protéger un patrimoine local ou national ?



Activités d’expression





(2)-Production d’un texte




I)- Rappel du sujet


Rédigez un texte pour dénoncer une « situation »qui vous semble injuste, partiale, arbitraire, illégale, choquante ...



II)- Remarque




La rédaction du texte se fera donc en classe sous le contrôle du
professeur afin de :


1- veiller à la bonne présentation du travail,


2- venir en aide aux élèves qui ont des difficultés à s'exprimer correctement,


3- empêcher les élèves de tricher en produisant des copies de textes.


Etude du fait poétique



« La versification » (SUITE)



1-Les allitérations et les assonances : Les allitérations désignent la répétition de consonnes à l'intérieur des vers. Les assonances concernent la répétition des voyelles.
Exemple : « Dodelinez du dos du dromadaire »


2- La prosodie : Elle est la base de la métrique. Les faits prosodiques sont relatifs à l’accent, aux pauses, à l’intonation et au rythme.


v Le rythme : Il est fondé sur les accents et leur répartition dans la séquence. On peut obtenir le rythme par le retour ordonné des groupes de syllabes délimitées par leurs accents.


v L’accent : C’est le soulignement en durée, hauteur ou intensité des voyelles finales des mots ou groupes de mots.



Exemple : Beau monde / des masures


v La césure : C’est une pause principale fixe qui le vers régulier.


Exemple : Tu as souffert de l'a // mour à vingt et tren te ans



3- Dénotation / Connotation :



v La dénotation : Elle désigne le sens général d’un mot pris dans son

acceptation la plus courante.
v La connotation : C’est la charge affective (subjective) qui peut se
greffer au sens premier.


Exemple : « Pareil au scorpion »


Sen dénoté : Le mot « Scorpion » désigne l’animal carnassier du désert des régions chaudes dont le postérieur effilé en queue finit par un aiguillon aigu.


Sens connoté : Ce qui intéresse le poète, c’est l’agressivité de l’animal, sa combativité, sa lutte pour la vie. C’est un animal qui défend son territoire et ne se laisse pas faire.


4- Les figures de style : Ce sont des procédés de style modifiant le sens des mots.
Parmi ces figures, on distingue :
v La comparaison : Elle est basée sur les rapports d’analogie, de ressemblance entre deux termes.
Exemple : « Pareil au scorpion »
v La métaphore : C’est une substitution du comparant au comparé : des deux termes l’un est absent. La métaphore est dominante en poésie car « C’est sur l’association par similarité que repose le vers ».
Exemple : « J’ai rencontré une sirène » (Une très belle femme)


v La métonymie : Elle donne la cause pour l’effet, l’effet par la cause, le nom de lieu où un produit est fabriqué par le produit lui-même, le contenant par le contenu, etc.
Exemple : « Mon Baudelaire est sur l’étagère. »
(L’auteur pour le livre produit.)


v La synecdoque : Elle peut être présentée comme une variation de la métonymie. Elle désigne la partie pour le tout, le tout pour la partie.
Exemple : « J’ai brandi mon arme. »
(Arme : couteau, poignard, révolver ..
L’image poétique naît de l’emploi des figures de style.




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